Album réunissant 29 comptines et berceuses biélorusses, polonaises, russes, slovaques, tchèques, ukrainiennes et yiddish. Ces chansons témoignent de la richesse du répertoire slave : lyrique ou joyeux, mélancolique, raffiné ou populaire, mais toujours émouvant. Les paroles des chansons sont reproduites dans leur alphabet d'origine, transcrites en caractères latins et traduites en français.

Pour fêter l'année de la Turquie et illustrer la diversité des langues et des styles musicaux d'Anatolie, 29 comptines turques, kurdes, grecques et arméniennes.

A travers 28 comptines, chants de fête en polyphonie et berceuses, cet album explore la richesse du patrimoine corse.

Réunion de chantés Nwels, cantiques chantés pendant la période de l'Avent aux Antilles, répertoire mêlant références chrétiennes et traditions créoles.

Du Mali au Japon, 23 comptines et berceuses, chantées par des adultes et des enfants originaires des pays concernés, invitent au rêve et au voyage.

Avec plus une dizaine d'histoires très variées autour du féminisme, de la politique ou de la sexualité, cette jeune blogueuse casse les clichés sur bon nombre de sujets. À l'opposé des stéréotypes, elle dévoile notamment son expérience de jeune maman au travers d'une série d'anecdotes tout sauf édulcorées. En revisitant avec beaucoup de justesse et d'engagement, des sujets tels que le sacro- saint instinct maternel, le baby blues, l'histoire du clitoris ou encore les réfugiés, elle parvient à remettre en question des vérités qui pouvaient paraître établies.

Il y a toujours un moment dans les discussions entre femmes où l'on s'en remet aux dessins d'Emma, sur le ton de : «C'est exactement ce qui m'est arrivé.» Après son formidable succès en librairie Un autre regard, cette bédéaste amateur revient sur le devant de la scène médiatique avec une BD, publiée sur internet, intitulée «La charge mentale». Elle y décortique ce qui pèse sur les femmes, contraintes d'organiser les tâches ménagères et leur éventuel partage. Sur Facebook, son histoire a été «likée» 76.000 fois, partagée 215.000 fois et commentée par 21.000 internautes.

Partons sur la route des esclaves à la découverte d'un nouveau répertoire enfantin.