Le fantôme de Nathan aide Louca à se ressaisir pour changer de vie.

Adolescent paresseux à l'école et maladroit avec les filles, Louca aimerait changer de vie. Le fantôme d'un certain Nathan, beau garçon intelligent, drôle et doué au football, va l'aider à se prendre en main.

Adolescent paresseux à l'école et maladroit avec les filles, Louca aimerait changer de vie. Le fantôme d'un certain Nathan, beau garçon intelligent, drôle et doué au football, va l'aider à se prendre en main.

Un incendie criminel ravage les locaux et le terrain de foot du lycée de Quanfrin. Heureusement, les dons d'un généreux bienfaiteur permettent de mettre en place de nouvelles installations. Louca et Nathan cherchent à recomposer une équipe, mais les anciens joueurs ont abandonné le ballon rond pour d'autres sports.

Malgré l'incendie criminel qui a ravagé les locaux et le terrain de l'école, Louca et Nathan n'abandonnent pas l'idée de reconstituer une nouvelle équipe en recontactant les anciens équipiers. Mais tous les anciens joueurs ont intégrés d'autres sports. Pour les convaincre de rejoindre l'équipe, Louca va défier et tenter de battre chacun d'eux dans son sport de prédilection.

La suite des aventures de Louca et Nathan qui tentent de reconstituer une equipe de foot malgre l'incendie qui a détruit les locaux et le terrain de l'ecole. ­Electre 2019

Nina et Madeleine sont profondément amoureuses l'une de l'autre. Aux yeux de tous, elles ne sont que de simples voisines vivant au dernier étage de leur immeuble. Au quotidien, elles vont et viennent entre leurs deux appartements et partagent leurs vies ensemble. Personne ne les connaît vraiment, pas même Anne, la fille attentionnée de Madeleine. Jusqu'au jour où un événement tragique fait tout basculer...

Avec un CD (textes lus par Mathieu Amalric et Léa Drucker).« La guerre avait fauché une génération. Nous étions effondrés. Mon oncle et ma tante avaient beau être médecins, ils ne possédaient plus rien. Leur clientèle avait disparu. Leur maison avait été pillée. Leurs économies avaient fondu. Le lendemain de mon arrivée à Paris, comme ils n'avaient ni argent ni vêtements à m'offrir, c'est une voisine qui m'a secourue avec une robe et des sous-vêtements.   Il régnait dans la maison une atmosphère de désolation.   Il n'y avait plus le moindre meuble.