A la découverte de la vie nocturne au jardin, où la faune et la flore s'éveillent : rossignols, sangliers, chauve-souris, renards ou hérissons sortent pour se nourrir, chanter ou se reproduire. Les plantes comme le chèvrefeuille et le jasmin embaument. Electre 2020

Un râteau, un arrosoir, une bêche… il ne faut pas grand-chose pour s'initier au plaisir de jardiner ! Mais qui dit jardiner, dit apprendre à connaître la Terre et comprendre le fonctionnement de la nature. En un an, saison par saison, tous les éléments nécessaires sont réunis pour créer en terre ou en balcon « son jardin », en se faisant de la nature une alliée.

Chaque soir, le soleil disparaît et certains animaux se couchent tandis que d’autres se réveillent. L’obscurité est propice à la chasse pour la chouette, le sanglier, le hérisson ou encore la chauve-souris.

Quand on fait le tour de la Terre dans un vaisseau imaginaire, on aperçoit des ours, des blaireaux, des tatous… des homards, des écureuils roux… des trèfles, des palmiers, des bambous… Avec les roches, l'eau et l'air, tout ce petit monde s'organise et façonne des tableaux vivants, tous différents. Pour faire sérieux, on les appelle des écosystèmes.

Une découverte des animaux des pôles (ours blancs, phoques, oiseaux migrateurs, etc.) et de leurs modes d'adaptation à leur environnement fait de neige, d'eau et de glace.

Arrêtée parce que Juive en mars 1944, Ginette Cherkasky est déportée dans le camp de concentration et d'extermination de Auschwitz-Birkenau. Elle en ressort vivante avec le matricule 78599 tatoué sur le bras. Seule rescapée des membres déportés de sa famille, elle nous transmet son témoignage et nous met en garde : " Voilà où mène la haine. " Ouvrage soutenu par La Fondation pour la Mémoire de la Shoah

Un album pour découvrir la vie dans les profondeurs sous-marines, qui sont peuplées de poissons, d'oursins, de coquillages et d'éponges.

En 1944, alors qu'elle n'a que 19 ans, G. Kolinka est déporté au camp d'extermination d'Auschwitz II Birkenau. En 2020, devenue passeuse de mémoire de la Shoah, elle permet à V. Malet et J.-D. Morvan de l'accompagner lors d'un de ses voyages en Pologne, à l'issue duquel elle décide de ne plus jamais revenir. Cet album fait le pont entre ces deux événements.